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Người Vô Sản

Kinh nghiệm tuổi già - Triết lý cuộc sống - Triết lý Đạo Phật - Năng Lượng Tự Nhiên

Top Secret : Pour ou contre les OGM ?

Elle n'a que 12 ans et pourtant  ...

 

Pour ou contre les OGM ?

 

H1N1 : Bachelot a tout manigancé pour s'enrichir

 

 

Les Maîtres du Monde


Défaîte cinglante de Jospin en 2002 à cause de Jean-Pierre Chevènnement et Christiane Taubira ?

 

Armes climatiques

 

Marc Filterman et les antennes relais GSM

 

Etrange : Info ou Intox ?

 

A qui profite le crime ?

 

Les USA ont donc réagi en incriminant la responsabilité des " Etats-voyous ". Pourtant, si une puissance a pu retirer des bénéfices impérialistes des attentats du 11 septembre, c'est bien les Etats-Unis.

 

Les attentats terroristes auront permis à la bourgeoisie américaine de réaliser un gigantesque coup de force dans l'arène mondiale au nom de l'anti-terrorisme. Ils auront fourni un prétexte rêvé pour prendre pied aux portes de l'Asie en occupant militairement l'Afghanistan et les pays limitrophes, c'est-à-dire les anciennes places fortes de son grand rival impérialiste d'il y a vingt ans, l'URSS. C'est là une spectaculaire percée stratégique américaine vers les terres et les mers chaudes d'Asie.

 

Il n'est pas à écarter que la menace terroriste ait été délibérément ignorée et que les "négligences incompréhensibles" des services de renseignement américain face au danger d'actes terroristes aient été voulues.

De toutes façons, ce qui est clair, c'est que l'ancien espion Ben Laden formé et recruté par la CIA en 1979 dans le conflit contre l'URSS continue à rendre de fieffés services aux Etats-Unis. Il joue pratiquement le même rôle de bouc émissaire que le dictateur Saddam Hussein qui avait permis aux Etats-Unis de monter leur opération militaire dans le Golfe visant en fait à remettre au pas ses anciens alliés après la dislocation du bloc occidental.

 

Etrange : Le passeport de Mohammed Atta

 

"Selon le FBI le passeport de Mahommed Atta, chef présumé des pirates de l'air, a été retrouvé dans les decombre du WTC, après avoir résisté à une température de 2000 degrés"

 

Etrange : Les invraisemblances de la version officielles

 

"Enfin, pour empêcher à jamais la vérité d'être connue, la police et le FBI ont été écartés de l'enquête qui a été confiée à l'armée et classée secret défense"

 

Guerre en Irak (Document de l'Université de Milan)

 

Qui a tué Daniel Pearl ? (Pierre Llelouche sur Europe1 en février 2005 : "De nombreux journalistes tués à l'étranger sur l'ordre de l'Etat Américain"

 

 

 

 

 

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Michel Pinçon
Monique Pinçon-Charlot
INTRODUCTION. DE LA LUTTE À LA GUERRE DES CLASSES
Jouissance et capitalisme : l’impératif du fun

« Il y a une guerre des classes, c’est un fait, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner. » Warren Buffett, un des hommes les plus riches du monde, éclaire avec un franc-parler rare l’état des rapports sociauxnote.

LE PRÉSIDENT SUR TOUS LES FRONTS

Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, la France est devenue l’un des champs de cette « guerre des classes » où les combats se font nombreux et âpres. Dans la nuit du 6 au 7 mai 2007, un grand conseil de guerre se réunit au Fouquet’s Barrière, un nouveau palace parisien. Nicolas Sarkozy y fête son élection au milieu de ses amis du CAC 40. Une victoire qui est aussi celle de patrons de presse, de politiciens, de vedettes du showbiz et de sportifs célèbres. Deux points communs dans ce patchwork surprenant : la richesse des participants et leurs liens avec l’ancien maire de Neuilly.

 

Le ton est donné. Dans les semaines et les mois qui suivent, les cadeaux pleuvent. Symboliques, avec une généreuse distribution de médailles de la Légion d’honneur. Plantureux, avec un renforcement du bouclier fiscal et la défiscalisation des droits de succession. Opérationnels, avec des nominations stratégiques au gouvernement et dans les entreprises publiques. Indirects, en supprimant les recettes publicitaires de la télévision publique avec l’espoir de leur transfert sur les chaînes privées.

 

Les puissances d’argent menant le combat, Nicolas Sarkozy s’attaque aux poches de résistance. La politique d’ouverture induit des défections dans le camp de la gauche. Les réformes mettent à mal les collectivités locales. L’indépendance de la presse et celle de la justice sont touchées. Le prolongement de La Défense menace le territoire de Nanterre, le Grand Paris est convoité par les entreprises économiques et financières.

 

Mais le conquérant se heurte à des oppositions, parfois même dans son camp, comme à Neuilly lors des élections municipales de 2008, où il veut imposer le futur maire. Les facilités accordées à la famille de l’émir du Qatar pour une rénovation importante de l’hôtel Lambert à Paris vont mettre en émoi le monde du patrimoine historique. Si la candidature de Jean Sarkozy, fils cadet de Nicolas Sarkozy, à la tête de l’établissement public qui gère le plus grand centre d’affaires européen, La Défense, a été si mal accueillie, y compris parmi les électeurs de droite, c’est peut-être parce qu’il ne faut jamais vendre la mèche… L’arbitraire de la domination et le népotisme ne doivent pas apparaître au grand jour pour laisser aux classes dominées l’illusion que les qualités et le mérite sont bien à la base des choix du président de la République.

 

La guerre sur le terrain s’accompagne d’une guerre psychologique, avec des discours contradictoires et un double langage permanent renforcé à l’occasion de la crise financière de 2008. Elle connaît quelques échecs, lorsque le discours apparaît comme trop en contradiction avec la réalité. Les fanfaronnades de celui qui prétendait vouloir « refonder » le système capitaliste n’ont guère été suivies de mesures. Au contraire, les paradis fiscaux, les fonds spéculatifs, les bonus des traders et les cadeaux aux banques ont permis au capital financier de retrouver de sa superbe.

 

Mais la France, dont l’opinion est mesurée par les sondages, manifeste son mécontentement. Le faible taux de participation aux élections révèle un désarroi d’autant plus profond que l’on descend dans l’échelle sociale. Les belligérants sont inégalement préparés au combat. Les classes populaires, désarmées et désabusées par la désindustrialisation, voient leurs états-majors politiques et syndicaux hésitants et divisés.

 

Lire la suite du livre

 

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Paris, 07/03/2012

 

 

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